Niche or not niche ?
Alors que l’on parle de plus en plus des marchés de niche sur la toile, force est de constater que ceux-ci restent peu visibles.
Les pure-players les plus visibles reposent sur des orientations discount, privilégiant volume et faible marge, alors que peu de sites d’ecommerce se positionnent sur l’aspect qualitatif en privilégiant marge et faible volume.
Ce constat amène à se poser la question suivante : pour se développer online, doit on être un discounter ? Je ne le crois pas. En effet certains ont su tirer leur épingle du jeu en offrant des produits à forte valeur ajoutée, sans dégrader leurs marges en opérant dans une niche de marché. Il en va ainsi de Madeindesign, qui s’adresse à une population de connaisseurs à fort pouvoir d’achat et qui ne pratique pas de rabais par rapport aux circuits brick&mortar.
Même constat pour royalavenue, qui commercialise des services en cristal ou en porcelaine à des prix à faire fuir l’internaute lambda ayant kelkoo dans ses favoris, et pourtant, cela fonctionne, et bien !
Les grandes marques du luxe commence par ailleurs à intervenir sur ce marché qu’elles approchaient prudemment jusqu’ici ; avec un savoir faire énorme en matière de relations clients, de commercialisation et une image de marque forte.
Et si la révolution 2.0 c’était celle-ci ?
Les pure-players les plus visibles reposent sur des orientations discount, privilégiant volume et faible marge, alors que peu de sites d’ecommerce se positionnent sur l’aspect qualitatif en privilégiant marge et faible volume.
Ce constat amène à se poser la question suivante : pour se développer online, doit on être un discounter ? Je ne le crois pas. En effet certains ont su tirer leur épingle du jeu en offrant des produits à forte valeur ajoutée, sans dégrader leurs marges en opérant dans une niche de marché. Il en va ainsi de Madeindesign, qui s’adresse à une population de connaisseurs à fort pouvoir d’achat et qui ne pratique pas de rabais par rapport aux circuits brick&mortar.
Même constat pour royalavenue, qui commercialise des services en cristal ou en porcelaine à des prix à faire fuir l’internaute lambda ayant kelkoo dans ses favoris, et pourtant, cela fonctionne, et bien !
Les grandes marques du luxe commence par ailleurs à intervenir sur ce marché qu’elles approchaient prudemment jusqu’ici ; avec un savoir faire énorme en matière de relations clients, de commercialisation et une image de marque forte.
Et si la révolution 2.0 c’était celle-ci ?
